D’après une étude, l’intelligence artificielle Chat GPT consommerait environ 3 bouteilles d’eau pour vous générer seulement 100 mots.
1. L’intelligence artificielle, utile mais problématique
Chat GPT est une intelligence artificielle très connue maintenant et qui permet désormais à plein de monde d’être soit assisté par une IA générative, soit de permettre à plein de monde de générer directement du contenu sans se fouler.
Bref, c’est une avancée technologique majeure, une parfaite assistante qui va même peut-être remplacer Google dans son pouvoir informatif.
Mais, l’IA et notamment Chat GPT est aussi très problématique sur divers points, tellement que certains pensent qu’il faudrait absolument encadrer cette technologie, en commençant par obliger les gens à mentionner « fait avec une IA » sur leurs publications générées.
Si Chat GPT permet de gagner du temps et même de gagner de l’argent, il y a plusieurs problèmes avec l’IA. Par exemple, l’IA peut désormais remplacer certains métiers, prendre la place de créateurs et d’artistes, elle peut aussi dire des bêtises… etc. Mais aussi, l’IA serait un danger pour l’environnement.
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2. Chat GPT, un vrai danger pour l’environnement ?
« Selon les études, le bilan carbone de ChatGPT-3 est égal à 136 allers-retours entre Paris et New York en avion », révélions-nous dans un article sur le sujet de l’impact de Chat GPT sur le climat. Mais, une étude récente révèle aussi que cette intelligence artificielle d’Open AI consommerait carrément 3 bouteilles d’eau pour générer environ 100 mots.
Alors que l’eau tend à manquer, c’est un vrai sujet, au même titre que la surconsommation alimentaire. Disponible dans 161 pays, Chat GPT parle 95 langues et compte plus de 180 millions d’utilisateurs. Et, selon Sam Altman, les utilisateurs génèrent environ 100 milliards de mots par jour.
Mais, selon cette étude de l’Université de Californie repérée pour la première fois par le Washington Post (Tom’s Hardware), le GPT-4 d’OpenAI « consommaient jusqu’à 1 bouteille d’eau par requête pour le refroidissement« , explique Microsoft Copilot.
« Selon l’étude de l’Université de Californie, la quantité d’eau consommée pour générer les réponses de l’IA aux requêtes dépend de l’État et de la proximité du centre de données. Pour mettre cela en perspective, le Texas a signalé la plus faible consommation d’eau, estimée à 235 millilitres pour 100 mots. En revanche, l’État de Washington a consommé la plus grande quantité d’eau, soit 1 408 millilitres pour 100 mots générés par l’IA », ajoute aussi Windows.
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