Rebelle, badass, anticonformiste, timidité, repli sur soi… Certaines personnes renfermées et ou rebelles trouvent difficile de s’ouvrir aux autres et ont du mal à se plier aux règles de notre société. Si vous vous sentez asocial, voire antisocial, suivez ces 5 conseils pour mener enfin une vie sociale épanouie !
Dans cet article :
Comment savoir qu’on est antisocial ou asocial ?
Il existe bel et bien une corrélation directe entre votre capacité à coexister avec les autres et la réussite des différentes entreprises que vous avez à faire dans votre vie. Quand vos aptitudes sociales sont développées, il est alors plus aisé d’élargir votre cercle d’amis, de bâtir des relations aussi bien amicales, fraternelles que professionnelles. Si vous vous sentez antisocial et que souffrez de ce mal, ne soyez pas inquiet, sachez que vous pourrez le vaincre, à condition, bien sûr de suivre une certaine méthodologie.
Quand on est antisocial, on adopte un comportement manquant de considération pour les autres individus et susceptible d’être préjudiciable à la collectivité, aussi bien intentionnellement que par négligence. Bien que dans la majorité des cas, l’on ne détecte les symptômes d’un individu antisocial qu’à l’âge adulte, en étant plus regardant, l’on peut les détecter suffisamment tôt chez les plus petits. Il ne faut pas confondre l’antisocialité avec l’asocialité (ou asociabilité) qui est quant à elle une incapacité à s’adapter à la vie sociale et à interagir normalement avec les autres.
Avant de prendre connaissance de ces symptômes, il est toutefois utile de garder en tête que cette pathologie touche plus la gente masculine que la gente féminine. En outre, elle naît très souvent à la suite d’une enfance très difficile aussi bien dans le milieu scolaire que familial.
Les différents symptômes de l’antisocialité et de asociabilité
- Un individu antisocial a tendance à ne jamais reconnaître son tort, et à rejeter systématiquement la faute sur les autres. Chez un adulte, ces symptômes se traduisent par une absence de conformité aux règles du quotidien. Ceci a pour conséquences un caractère violent, l’incapacité de garder un emploi sur le long terme, et une agitation perpétuelle. L’enfant va présenter une attirance particulière pour des situations extrêmes, telles que la torture (physique et émotionnelles), la vue du feu, ou encore l’amour poussé des animaux (vers qui l’enfant se tourne et en fait ses compagnons à qui il se confie).
- Un individu asocial quant à lui a du mal communiquer avec les autres et a tendance à se replier sur lui même, que ce soit par timidité ou car il se sent en décalage par rapport aux normes et aux règles de notre société.
Cinq conseils pour mener enfin une vie sociale épanouie
1. La pratique intense
C’est la plus vieille des règles : lorsqu’on veut développer une aptitude, il est indispensable de pratiquer, encore et encore.
Ceci dit, vous devrez faire de nouvelles rencontres, passer du temps avec ces personnes et faire de votre mieux pour établir et maintenir le dialogue afin de forger une réelle amitié. Vous réussirez ainsi à améliorer votre intuition et votre empathie à propos des autres.
Le secret pour vous rendre plus sociable c’est de fréquemment interagir avec vos semblables, sans forcément en ayant un intérêt inavoué, mais surtout par plaisir de dialoguer.
2. Prenez des risques
Interagir avec les autres, c’est juste la première étape. Afin de continuer votre processus d’apprentissage, vous ne devez pas avoir peur d’être imparfait. Vous devez accepter de prendre des risques, de vous dévoiler aux autres, de dire ce que vous avez réellement sur le cœur et de vous montrer vulnérable. Il faut voir la vie comme partie de poker et savoir parfois mettre carte sur table ! En vous exposant ainsi aux autres tel que vous l’êtes réellement, soyez attentifs à leur réaction. Vous progresserez plus vite et dans le bon sens.
3. Prendre l’avis de vos semblables sur vos aptitudes sociales
Il est quasiment impossible d’ajuster de manière correcte vos compétences personnelles lorsque vous n’avez aucune idée de la perception qu’on les autres de vous. Si vous ne savez pas quel effet vous produisez chez les autres, il serait grand temps de leur demander (de préférence une personne de confiance).
4. Interagir avec ceux qui sont plus habiles que vous
C’est comme on dirait «apprendre auprès des meilleurs». En étant en contact permanent avec des personnes qui ont de l’aisance sociale en elles, vous apprendrez forcément plus. Sans forcément vous en rendre compte, vous copierez certaines de leurs habitudes. Attention alors à ne copier que les bonnes.
5. Fixez-vous un objectif
La diversité humaine fait qu’il existe différentes aptitudes sociales. Essayer de les capter toutes à la fois ne vous sera point bénéfique. La meilleure approche est d’en choisir au maximum deux à la fois et de vous concentrer dessus. Une fois que vous en aurez la maîtrise, vous pourrez passer aux suivantes.
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