À l’article de la mort, lorsque les gens n’attendent plus rien des jours, ils deviennent lucides et font un bilan de leur vie. Voici les derniers regrets qui reviennent souvent !
Très peu sont les personnes qui sont revenues de l’article de la mort. Lorsque ce portail est franchi, la lucidité des gens devient plus nette que jamais, ils jettent un coup de regard à leur vie passée et en tirent des conclusions. Généralement, il y a plus de regrets que de satisfactions, affirme Bronnie Ware, dans son livre Les 5 regrets des personnes en fin de vie. Mais alors, que regrettent souvent les gens en fin de vie ?
Dans cet article :
Avoir abandonné leur rêve
Selon l’auteur de Les 5 regrets des personnes en fin de vie, le regret le plus fréquent des personnes mourantes est celui de ne pas avoir poursuivi leurs rêves. Chaque être vivant a en effet des objectifs de vie, des rêves à réaliser. Mais face aux vicissitudes de la vie, ces derniers sont vite abandonnés au profit des soucis du moment.
Une fois sur le lit de mort, les gens se rendent compte que réaliser leurs rêves leur aurait apporté plus de joies que de faire ce qu’on attend seulement d’eux. Là, les décisions qui leur ont fait changer de chemin reviennent les hanter. Ils se rendent que la vie choisie alors est en train de finir, mais qu’ils n’en ont pas eu toutes les joies qu’ils voulaient.
La leçon : poursuivez vos rêves. Ils vous apporteront certainement plus de joies que si vous devez faire ce que d’autres attendent de vous.
Avoir travaillé si dur
À l’article de la mort, la plupart des gens s’accordent avec ce que dit l’auteur du livre de l’Ecclésiaste : “Que revient-il, en effet, à l’homme de tout son travail et de la préoccupation de son cœur, objet de ses fatigues sous le soleil ?”. Pourquoi ai-je donc travaillé si dur ?, se demandent souvent les personnes mourantes. Le problème est que pendant nos années de vigueur, nous nous focalisons très souvent sur notre carrière et recherchons sans cesse le moyen de gagner plus d’argent. Ainsi faisant, nous passons malheureusement à côté des choses qui apportent réellement la paix, la joie et la sécurité tant recherchées. Nous n’avons que peu de temps pour nous-mêmes et profiter des œuvres de nos mains.
Ce n’est qu’à quelques pas de la tombe que bien de personnes se rendent compte qu’il est possible de vivre heureux sans constamment penser à l’argent et à sa carrière.
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N’avoir pas dit ce qu’ils pensaient
“J’aurais pu dire ce que je pensais” est une phrase typique de personnes qui ont décidé à un moment ou un autre de refouler leur émotion, soit pour éviter des situations conflictuelles, soit pour garder les bonnes relations. Dans l’un ou l’autre des cas, ces personnes ont nourri de l’amertume à la suite d’une telle décision. Celle-ci a peut-être fini par se retourner contre elles à un moment donné, les empêchant d’évoluer, de connaître leur potentiel ou même leur attirant une maladie.
Il est important de garder à l’esprit que les confrontations ne se soldent pas toujours par des mésententes ou la division. Parfois, elles sont essentielles pour connaître la valeur de chacun et même solidifier les relations. Assurez-vous de cultiver la franchise et la bienveillance, dans tous les cas.
Ne pas avoir accordé plus de temps à ceux qui leur étaient chers
De nombreuses personnes, à l’article de la mort, se rendent soudain compte de la force de l’amitié et de l’importance d’avoir des personnes chères à son esprit. Mais dans ces circonstances, les retrouver n’est pas facile, surtout si les contacts sont coupés depuis longtemps. On est alors abandonnés à soi, sans personne autour de nous. Dans ces circonstances, selon l’auteure, la vie est plus pénible que jamais.
La leçon a tiré de ceci, c’est de prendre soin des personnes qui vous chères. Passer du temps avec elles apporte plus de joies que nous ne le pensons. Parfois, se rappeler même que vous avez des personnes avec qui vous pouvez rire et sortir suffit pour apporter du baume à votre cœur.
Ne pas choisir d’être heureux
“Si je fais ceci, je serais heureux”. “Dès que j’obtiendrai cela, je serais heureux”. Ainsi, nous pensons souvent. Mais ce ne sont pas toutes ces choses que nous amassons qui nous apportent vraiment le bonheur tant désiré : être heureux est un choix, mais les gens ne s’en rendent compte qu’en fin de vie.
Selon Bronnie Warre, la peur du changement empêche souvent les personnes de prendre des décisions qui pourraient leur apporter de la joie. Le regard des autres les emprisonne et leur crée des limites. Gardez donc à l’esprit qu’aller de l’avant et être heureux ne dépendent que de vous.
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3 commentaires
ça fait réfléchir… J’ai toujours voulu voyager en Asie mais j’ai jamais pris le temps. Faut vraiment qu’on réalise nos rêves avant qu’il soit trop tard!
Tellement vrai! On court tjrs après le travail et l’argent mais au final, ce qui compte c’est les moments avec nos proches. J’essaie de plus en plus de passer du temps avec ma famille et mes amis. C’est ça le vrai bonheur, non?
Cet article me touche… J’ai perdu mon père récemment et il regrettait de ne pas avoir dit ce qu’il pensait vraiment. Ça m’a appris à être plus franche et directe. La vie est trop courte pour garder les choses pour soi.