Il y a des jeux qui nous font ramper pour survivre. Et puis il y a ceux qui nous font comprendre ce que ressent un dieu quand il décide de tout faire exploser.

Certains jeux redéfinissent la notion même de puissance. Ils vous plongent littéralement dans une ivresse de domination. En effet, il y a des jeux où chaque mouvement respire la puissance. Ce sont ces expériences qui transforment un simple divertissement en un vrai exutoire.
8 – Saints Row IV
Ce jeu pousse l’absurde jusqu’au sublime. Le joueur incarne le Boss des Saints, devenu Président des États-Unis avant d’être piégé dans une simulation alien. Un monde virtuel où tout est permis en a resulté.
Le joueur peut voler au-dessus des toits, lancer des voitures avec la pensée ou courir plus vite qu’un avion. La ville entière n’est plus qu’un environnement où le délire et la puissance se confondent.
Ce titre assume pleinement sa folie. Il offre une liberté sans limite et fait du joueur une force surnaturelle. Le fantasme de puissance y est total, presque euphorique.
7 – Prototype
Alex Mercer n’est pas un héros, mais une arme biologique ! Dans Prototype, en effet, chaque mouvement et chaque transformation incarne la force brute.
Le joueur bondit d’un gratte-ciel à l’autre, dévore ses ennemis pour en voler l’apparence et transforme ses bras en lames géantes capables de trancher un char en deux. New York devient pour lui un immense terrain de chasse.
Cette violence organique n’est jamais gratuite. Elle est à la fois viscérale et libératrice. En tout cas, Prototype incarne la jouissance pure de la destruction, la sensation d’être un monstre invincible dans un monde sans foi ni loi.
6 – Doom Eternal
Dans Doom Eternal, il n’y a pas de répit. Dès les premières secondes, le joueur devient un prédateur. Chaque démon est une offrande à la rage du Doom Slayer.
Le jeu récompense l’agression. Plus on attaque, plus on devient fort. La santé, les munitions et l’armure pleuvent sur le champ de bataille. Chaque arme semble conçue pour une seule mission : anéantir avec élégance.
C’est une expérience sensorielle totale. Le métal résonne, les entrailles volent, la musique s’embrase. Le joueur devient la peur incarnée des enfers.
5 – God of War: Ragnarök
Kratos a vieilli, mais il n’a rien perdu de sa puissance. Dans Ragnarök, ses coups de hache Leviathan résonnent encore comme un tremblement de terre. Et chaque combat porte le poids de la mythologie.
Cette fois, la rage est maîtrisée, presque noble. En effet, le dieu de la guerre se bat pour son fils, pour sa rédemption, pour sa paix. Mais lorsque la colère explose, la terre entière tremble.
Le jeu réussit un miracle : faire coexister puissance et émotion. Le fait est qu’on ressent la divinité de Kratos, mais aussi sa fragilité. Une fantaisie de puissance humaine, d’une intensité rare.
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4 – Devil May Cry 5
Devil May Cry 5 ne veut pas seulement que le joueur soit fort. Il veut qu’il soit beau dans sa puissance. Dans ce jeu, dominer ses ennemis ne suffit pas, il faut le faire avec style.
Les combos deviennent alors des chorégraphies infernales. Les personnages dansent au milieu des démons, ce qui ajoute un aspect spectaculaire aux combats. Par exemple, les motos deviennent des armes et les poings des tempêtes.
Ce jeu est tout simplement une célébration de la beauté dans la destruction, une ode à la maîtrise totale.
3 – Infamous: Second Son
Dans Infamous: Second Son, la puissance dépend de la morale. Delsin Rowe peut absorber les pouvoirs des autres “Conduits”. Chacun de ses dons change sa façon de combattre et de se déplacer.
Le joueur peut choisir d’être un héros admiré ou un tyran redouté. Le pouvoir reflète donc ses décisions. Mais quelle que soit la voie choisie, le sentiment reste celui d’être un être surhumain, libre de tout. Seattle devient ainsi un immense terrain d’expérimentation où la frontière entre liberté et domination s’efface.
3 – Asura’s Wrath
Dans Asura’s Wrath, la colère devient une religion. Asura, demi-dieu trahi, ne parle pas : il frappe ! Et il frappe si fort qu’il transperce des planètes.
Les affrontements dépassent la raison. Les ennemis sont des divinités de la taille d’un continent. Les coups traversent les cieux. Il est clair que le jeu ne cherche pas la logique, mais l’extase.
2 – Elden Ring
Elden Ring est plus subtil, mais tout aussi grisant. Le joueur commence faible, vulnérable. Puis, à force de combats et de persévérance, il devient un véritable dieu.
Chaque victoire sur un boss colossal renforce ce sentiment d’ascension divine. On dompte le monde, on défie les dieux et on finit par en devenir un.
Le jeu donne l’impression d’une progression de puissance exceptionnelle. D’une simple flamme vacillante, on devient l’incarnation même de la volonté du feu. Le fantasme de puissance ici, c’est celui de la transcendance.
1 – Control
Jesse Faden, directrice du Bureau Fédéral du Contrôle, découvre des pouvoirs psychiques qui défient toute logique. Dans Control, la puissance ne se mesure pas à la taille d’une épée, mais à la force de l’esprit.
Elle fait léviter des objets, arrache des murs entiers et manipule la gravité. L’environnement devient une extension de sa volonté.
Le jeu joue sur une esthétique hypnotique. C’est une expérience où la télékinésie devient un art, où l’on contrôle le chaos d’un simple regard.
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