Avec sa nouvelle campagne 2019 « ZÉRO ÉTIQUETTE : Don’t Call Me Jennyfer », la marque de prêt à porter pour adolescentes veut s’affranchir des clichés qui lui collent à la peau. La musique de cette pub impertinente est le titre électro rock « Jungle Riot » du groupe Skip&Die.

ZÉRO ÉTIQUETTE : l’impertinente pub 2019 de Jennyfer
Jennyfer est perçue comme la marque pour cagoles, boloss, gamines et autre clichés péjoratifs que l’on colle aux femmes… Consciente de son déficit d’image, elle prend aujourd’hui le contre-pied et s’affranchit de sa propre étiquette. Après vingt ans d’absence en publicité, Jennyfer fait son grand retour avec #ZEROETIQUETTE #DontCallMeJennyfer, une campagne impertinente signée de l’agence Buzzman.
En 2019, Jennyfer souhaite donc s’affranchir de ces étiquettes d’un prêt à porter de vulgaire et de mauvaise qualité ciblant les adolescentes. Dans ce film publicitaire réalisé par Leone (production Bollywood), la marque invite donc les jeunes femmes à en faire de même. NON ! Elles ne sont pas chelous, gamines, cagoles, et encore moins bonhomme, boloss ou racaille. Elles sont libres et affirment leur personnalité sans se soucier de ce que pensent les autres !
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Quelle est la musique de la pub ?
La musique de la pub Jennyfer 2019 est le titre « Jungle Riot » du groupe Skip&Die. Une chanson électro rock rythmée issue de l’album « Riots In The Jungle » sortie en 2012.
Skip and Die (stylisé Skip&Die) est un groupe de Dance Music, né de la rencontre de la chanteuse sud-africaine Cata Pirata et du musicien néerlandais Jori Collignon. Leur musique rythmée et transgressive est une fusion de nombreux styles allant de l’électro au rock en passant par le dubstep, le ragga, ou encore le funk et le hip-hop…
Don’t Call Me Jennyfer : un teasing sauvage pour faire le buzz…
Quelques jours avant la révélation de la campagne, le 8 mai, un teasing sauvage #ZEROETIQUETTE a enflammé la toile avec l’aide des influenceurs sur Instagram. La marque a même osé tagger ses propres vitrines, bernant les journalistes de Sud-Ouest qui sont tombés dans le panneau en s’indignant du vandalisme. On pouvait lire en lettres rouge sang les fameux « racaille », « gamine » et autre « cagole » souvent associés à la marque. Un joli coup de maketing viral qui a fait son petit buzz !
La campagne télé est désormais déclinée en digital avec un film web, en boutiques et à travers une campagne nationale d’affichage (photographe Viktor Vauthier). Ce nouveau positionnement autour de l’inclusion et affirme la promesse d’une marque pour toutes, allant au-delà des clichés !
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