Devenez testeuse de sextoys pour 1 350 euros net par mois

La société belge Soft Love, qui vend des articles érotiques, propose un job atypique : testeuse de sex-toys. Une façon agréable d’allier érotisme et travail en restant chez soi.

Soft Love, éditeur de produits érotiques au même titre que une boutique en ligne de Butt plug nomée loveplugs, propose aux femmes en recherche d’emploi de devenir testeuse de sex-toys (vibromasseurs, godemichets et autres jouets sexuels pour adultes). « Près de la moitié de son temps de travail sera certainement consacré à évaluer sensoriellement ces produits destinés à la consommation intime. Elle devra alors rédiger des rapports détaillés et comparer les produits testés à ceux qui existent sur le marché », selon Nicolas Bustin, cofondateur de cette société belge. Le panel de produits est très varié ce qui demandera une grande ouverture d’esprit : « Notre testeuse recevra tout au plus une dizaine à une quinzaine de godemichés à tester par mois. On parle en effet de tester des produits érotiques en tout genre : bougies, lingerie, huiles de massage (parfait pour des massages érotiques), lubrifiants, anneaux péniens, etc… » Ceci pour un salaire net de 1 350 euros, comprenant un treizième mois.

Pour ce job qui fait appel aux sens les plus délicats, pas besoin de diplôme. Il faut être « une femme dynamique et motivée, ouverte à la nouveauté, aimant le plaisir intime et possédant une bonne condition physique (…) Notre recrue disposera en plus d’un bureau au sein de nos locaux à Wépion [en Belgique]. Un ordinateur portable et un smartphone seront mis à sa disposition. Ses frais de communication et de voyage lui seront aussi remboursés ». Voyage remboursé car effectivement, la testeuse a « déjà deux voyages de prévus en 2013 : l’un à Montréal pour tester une gamme de cosmétiques, et l’autre en Italie pour découvrir une gamme de lingerie », explique Nicolas Bustin.

Si l’offre vous semble alléchante, vous pouvez postuler en envoyant une lettre de motivation et un CV à job@softlove.be.

Source : Terra Femina